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L'ARCHE DE NOÉ

« Cette lecture, résolument contemporaine et optimiste, est servie par une implication sans faille de tous les chanteurs. La Maîtrise de Caen. [...] Jean-Christophe Lanièce, tout de blanc vêtu, module suprêmement un Noé profondément humain, de son baryton clair et mordant. Et quelle émotion, sans doute, pour lui de retrouver, en soliste adulte, une Maîtrise dont il a fait partie enfant ! » Opéra Magazine (lire l'article dans son intégralité)

« Les membres de La Maîtrise de Caen ont pu démontrer leur très haut niveau technique – interpréter Britten peut être d’une grande difficulté quand on a une dizaine d’années – et de grandes qualités artistiques. [...] Dans la fosse, Olivier Opdebeek dirige avec précision et goût un ensemble aux timbres colorés. [...] Spectacle complet à tout point de vue, cette production – en français – transpose l’histoire de nos jours, à une époque où la sauvegarde de la planète est un sujet d’inquiétude quotidien. Benoît Bénichou doit être félicité pour sa mise en scène inspirée. » concertclassic.com (lire l'article dans son intégralité

« Tout au long de la représentation, la Maîtrise (avec Marie-Pascale Talbot en cheffe de chant) montre ses qualités musicales collectives. L’envie de chanter et de jouer la comédie est sincère, reflet d’un travail rigoureux mené par une direction précise à tout niveau. » Olyrix  (lire l'article dans son intégralité)

 

CUPID AND DEATH 

« Désormais rompus aux résurrections flamboyantes et aux expériences scéniques (Le Ballet royal de la nuit, Histoires sacrées, Songs), Sébastien Daucé et son ensemble Correspondances s’emparent de cette œuvre composite, créée en 1653, et s’associent pour le meilleur aux metteurs en scène Jos Houben et Emily Wilson. » Télérama

« À chaque fois, la même appétence du claveciniste Sébastien Daucé, à la tête de son ensemble Correspondances, aventurier d'un théâtre musical d'ascendance baroque. » Le Monde

« Les metteurs en scène Jos Houben et Emily Wilson, Sébastien Daucé et l'ensemble Correspondances offrent au public parisien, à l'issue d'une résidence de création au théâtre de Caen, un objet de désir lumineux et gourmand. [...] Diabolique de précision, la direction Sébastien Daucé demeure souple et discrète. Plus encore, son intelligence musicale, alliée à l'excellence de ses complices, font de ce mask une œuvre truculente et singulière. » Diapason

« Entre humour et poésie, cet opéra masque anglais du XVIIsigné James Shirley, Matthew Locke et Christopher Gibbons, est l'un des spectacles les plus réjouissants du moment. [...] Chantre patenté des résurrections aventureuses, Sébastien Daucé a été le héraut de cette redécouverte scénique au théâtre de Caen. » Le Figaro

« Menés par Sébastien Daucé, les instrumentistes de Correspondances prennent un plaisir manifeste qui n’entame nullement leur brio. » La Croix

« L’équilibre sonore entre les pupitres est harmonieux, les mélodies se répondent et se combinent pour une diversité de couleurs. Les phrasés sont souples, les nuances raffinées. La performance des instrumentistes (bouger à plusieurs reprises, jouer en marchant, prendre parfois des positions incongrues : assis par terre ou serrés dans une boîte !) force l’admiration. C’est une salle conquise touchée en plein cœur par les flèches de cette nouvelle production, qui l'applaudit longuement et chaleureusement. » Olyrix 

« Un ovni théâtral. Du 10 au 13 novembre, le Théâtre de Caen ressuscite Cupid and Death, une œuvre musicale baroque, quintessence de l'humour anglais, sans limite et sans frontière. » France info : Culture

« De péripéties en péripéties, le petit groupe de musiciens autour de Sébastien Daucé tisse les liens entre théâtre et danse et sert d’écrin aux passages chantés. Le quintette de voix, formé par les sopranos Perrine de Devillers et Liselot De Wilde, le ténor Antonin Rondepierre, la mezzo Lucile Richardot et le baryton-basse Yannis François, offre un nuancier subtil. » Le Martimpression

 

CORONIS

« Le théâtre de Caen, haut-lieu de la zarzuela baroque. Vincent Dumestre et Omar Porras redonnent magistralement vie à la Coronis de Sebastian Duron, une belle endormie depuis le XVIIIe siècle » Le Monde

« À Caen, tous épris de Coronis ! Au théâtre de Caen, Coronis de Durón ravive les délices de la zarzuela baroque. Un spectacle débordant d’humour pétillant et de charme musical. » La Croix

« La nymphe Coronis, héroïne d’une zarzuela de Sebastián Durón, s’était endormie il y a plus de trois siècles. Elle s’est réveillée au théâtre de Caen grâce à une belle distribution, au Poème Harmonique Harmonique de Vincent Dumestre et à l’ingéniosité scénique d’Omar Porras. » WebThéâtre

« Couronnement de Coronis au théâtre de Caen. [...] Un plateau vocal homogène et une direction experte de Vincent Dumestre. » Ôlyrix

« Un spectacle abouti, qui consacre la renaissance d’une œuvre rare ainsi que l’importance du théâtre de Caen dans la création baroque à l’heure où le succès du Ballet royal de la nuit conduit à une nouvelle tournée triomphale. » Toute La Culture

 

 

LE BALLET ROYAL DE LA NUIT

« Monter une telle œuvre avec les défis que le livret et la musique comportent était un réel exploit. Mais nous pouvons sincèrement saluer l’audace de Patrick Foll, directeur du théâtre de Caen qui, de saison en saison réussit à réunir des talents formidables pour offrir à son public une programmation d’une grande qualité. À deux heures de Paris, cette maison rayonne par l’originalité de ses projets. » Classiquenews

« Un foisonnement de trouvailles visuelles, avec une inlassable inventivité qui tient sous le charme pendant l’heure cinquante de la représentation. Trois représentations à Caen, et l’accueil enthousiaste des salles combles : le succès devrait se prolonger à Rouen, Limoges, Amiens et Lille, en 2020, avant de terminer, en mai 2021, à l’Opéra Comique, pour un spectacle captivant que l’on ne voudra surtout pas manquer » Opéra Mag

« Une sensationnelle (re)découverte. » Forum Opéra

« Une fantaisie baroque dont on ressort émerveillé. » Diapason

« La réussite est totale. Une résurrection de premier ordre à tout point de vue à laquelle le public de Caen et nombreuses autres régions de France (dont Paris) fait une ovation impressionnante et méritée » Ritmo (Espagne)

« Coronis couronnée. Un écrin à la meure du joyau » Classica

« De nombreux tableaux où contorsionnistes, acrobates et danseurs charment l’œil autant par une chorégraphie très discursive que par la beauté des costumes. » Bachtrack

« Lustige und farbenfrohe Wiederentdeckung der barocken Zarzuela. [...] Ein fröhlicher Abend, mit immer neuen Einfällen mit den allereinfachsten bewährten barocken Theatermitteln » Online Merker - Die internationale Kulturplattform

« [Le Ballet royal de la nuit] inclassable et captivant » TTT Télérama

« [Le Ballet royal de la nuit] Un ravissement à tous les sens du terme. » Le Monde