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Un choix d'extraits presse annonçant ou revenant sur la programmation du théâtre de Caen.

SAISON 2024/2025


« Le théâtre de Caen brille aux Victoires de la Musique Classique 2025 avec trois de ses artistes phares nominés : Justin Taylor, Francesco Filidei et Lucile Richardot. » Liberté – 31 janvier 2025

THÉÂTRE MUSICAL
La Conférence des oiseaux
« Le texte du poète Farîd al-Dîn Attâr, inspiré d’un ancien conte soufi, a été adapté par Jean Claude Carrière pour Peter Brook à Avignon en 1979. Mais de cette ancienne forme théâtrale, Petr Forman a fait un spectacle mêlant danse, vidéo et musique de façon magistrale. Grâce à de superbes costumes aux éventails de plumes qui donnent aux comédiens, mimes et danseurs, une allure étonnante. » Alain Lambert pour musicologie.org - 12 avril 2025

Les Fâcheux
« Une recréation à la fois récréative et documentée, pleine de charme baroque. » Musicologie – le 30 décembre 2024

« Il y a chez ces personnages une demande de consolation, explique Julia de Gasquet. Ils sont magnifiques et deviennent attachants parce qu’ils sont empreints d’humanité. [...] Avec sa Compagnie de La Chamade et Le Caravansérail de Bertrand Cuiller, Julia de Gasquet a imaginé Les Fâcheux dans une scénographie végétale et au temps de Molière, Lully et Beauchamp qui signent ensemble leur première comédie-ballet datant de 1661. » www.relikto.com 20 décembre 2024

Dans la sélection du journal Le Monde « Des spectacles en cadeau pour les fêtes », on retrouve « Le Fâcheux », une comédie-ballet mise en scène par Julia de Gasquet. « Signée Lully, la musique ­rehausse le jeu de la troupe, les intermèdes dansés prolongeant le plaisir du théâtre, tandis que les jeux de  lumière magnifient le décor ­bucolique. » Le Monde − 9 décembre 2024  « Pour les fêtes de fin d’année, le théâtre de Caen présente la comédie-ballet Les Fâcheux de Molière dans la production créée aux Fêtes de Grignan en 2022. »  La Terrasse 24 septembre 2024 

CONCERT
Drôles d'oiseaux
« Cinq dames hautes en couleur et deux sombres piafs au cœur d’un même concert vocal aux étranges échos réverbérés par les voutes de l’église de la Gloriette à Caen. Les voix sont sur une scène centrale avec le public autour et l’acoustique est excellente. Un programme mettant à l’honneur les êtres ailés qui gazouillent à travers le ciel du Moyen-Âge jusqu’à la Renaissance, de l’oiselet sauvage au rossignolet du bois, du doulz rossignol au coucou en passant par le martinet, la caille et le sanson, l’alouette… » musicologie.org - 26 mars 2025

THÉÂTRE
On a vu « Les Fausses Confidences » au théâtre de Caen : virevoltant !
« Alain Françon dirige ses acteurs comme un véritable chef d’orchestre sachant subtilement doser effets comiques liés au genre du marivaudage (fausses confidences et vrais mensonges, badinages et quiproquos), et effets dramatiques liés à la profondeur du sentiment amoureux. » Ouest-France  –  27 mars 2025

Le Procès de Jeanne
« Tiré des minutes du procès de la « Pucelle », le spectacle Yves Beaunesne offre à Judith Chemla une occasion de déployer les facettes de son grand talent. Ce rôle, au demeurant, elle le voulait et comme interprète et comme coconceptrice. Une réussite remarquable. » Le Martimpression 24 mars 2025

Le Ciel, la Nuit et la Fête – Notre comédie humaine
« Près de six cents personnes, de tous âges et de toutes les classes sociales, étaient prêts à suivre ce marathon. Tels des randonneurs, ils s’étaient préparés. Certains avaient dans leurs sacs victuailles et boissons, les autres, en majorité, avaient réservé des tickets qui leur donnaient le droit à un goûter entre Tartuffe et Dom Juan, et à un dîner avant Psyché. L’ambiance était assurément à la fête comme à la grande époque du Théâtre National Populaire de Jean Vilar et de la Décentralisation. » L'Œil d'Olivier  – 1er février 2025

« La Comédie humaine : apprès Molière, Balzac est à l'affiche du théâtre de Caen. » France 3 Normandie 

« Pas de temps mort pour des spectacles plus vivants que jamais. [...] Ce n’est pas inédit, mais c’est tout de même suffisamment rare pour s’y attarder. À partir de ce mercredi et jusqu’au 1er février, le théâtre de Caen est mis à la disposition d’une seule et même compagnie : le Nouveau Théâtre Populaire. » Ouest-France  − 22 janvier 2025


OPÉRA 
Les Noces de Figaro
« Rien n’a été laissé au hasard dans cette production haute en couleurs, nous plongeant – avec tous les artifices du théâtre – dans un XVIIIe siècle revisité. La scénographie de Pavel Svoboda, clairement inspirée du théâtre baroque, est virtuose, ne laissant aucun temps mort, facilitant, par des changements à vue, l’extrême fluidité des enchainements dramatiques, donnant aux apartés une vraie efficience théâtrale, ce qui n’est plus si fréquent. [...] La direction de Václav Luks est colorée et contrastée. Son Collegium 1704 séduit par ses sonorités (particulièrement du côté de la petite harmonie) et son engagement. Le délirant finale du deuxième acte est conduit de façon magistrale.  » Marc Dumont pour Première Loge - L'art lyrique dans un fauteuil - 30 avril 2025

« À Prague Mozart était chez lui. Il l’est aujourd’hui à Brno, comme en témoignent ces “Noces de Figaro” servies par une mise en scène inventive, une distribution homogène et une direction très théâtrale. [...] Ainsi, tout en demeurant parfaitement lisible, la production n’élude rien. Elle nous montre que les Noces n’ont pas besoin d’être actualisées pour rester actuelles, réussissant là où échouait la lecture de Netia Jones à Garnier. Comme le livret, elle peut sentir le soufre révolutionnaire, avec un Figaro très rebelle, ou, dans le jardin, se charger, à travers la danse, d’un érotisme coquin. Les airs de Marcelline et de Basile, du coup, reprennent tout leur sens – ils s’imposent, même. » Didier Van Moere pour Diapason - 29 avril 2025

« La nouvelle production que l’on peut applaudir au Théâtre de Caen jusqu’au mardi 29 avril présente la particularité d’avoir été créée en mars dernier à Brno, en République tchèque, où elle sera d’ailleurs reprise en fin d’année. Cette politique de coproduction a été mise en place et développée par Patrick Foll, le directeur du théâtre. Elle avait déjà permis au public caennais de découvrir, dès 2010 lors d’un mémorable Rinaldo de Haendel, puis de retrouver régulièrement l’excellent ensemble musical sur instruments d’époque Collegium 1704, animé par son chef Vaclav Luks. » Emmanuelle Giuliani pour La Croix - 28 avril 2025

« Le théâtre de Caen vit des heures passionnantes avec des « Noces de Figaro », made in Tchéquie. Depuis un « Rinaldo » de légende, la scène caennaise entretient depuis une quinzaine d’années une collaboration fructueuse avec Václav Lucks et son orchestre Collegium 1704. De même avec le metteur en scène Jiří Heřman, dont le travail sur l’opéra de Mozart associe pertinence et élégance au service d’un plateau vocal pétillant. Les trois représentations ont été prises d’assaut. C’était l’occasion ou jamais. Caen est la seule scène française à accueillir cette production. Tant pis pour les autres ! » Le Martimpression – 28 avril 2025

« La lisibilité de cette production tchèque, créée à Brno le mois dernier, est totale et la direction d'acteurs de Jiří Heřman, réglée au cordeau, fait mouche, rehaussée des couleurs franches des costumes somptueux d'Alexandra Grusková (bleu de Suzanne, noir de la Comtesse, comme en deuil de son amour, rose de Chérubin, etc.) ou adoucies (les danseurs, bien intégrés grâce au talent de leur chorégraphe Alexandra Grusková) et d'éléments de décors à l'ancienne, s'enchassant ou roulant aisément pour des changements à vue rapides et variés. » Éric Gibert pour ODB-Opéra - 24 avril 2025

Cendrillon
« Pour l’Opéra de Lorraine, Fabrice Murgia a apporté son grain de scène en transposant l’action dans un univers ”halloweenien“, truffé de références cinématographiques. Choix validé par le public du théâtre de Caen tout autant séduit par la qualité des interprètes, en particulier la contralto Beth Taylor (Angelina-Cendrillon) et le ténor Dave Monaco (le Prince Ramiro). » Le Martimpression − 16 janvier 2025

L'Uomo femina
« Vincent Dumestre fait partie de ces musiciens et chefs fins limiers des bibliothèques et archives à la recherche de l’œuvre rare. L’exploration des répertoires a pris une ampleur depuis l’éclosion nouvelle de la musique baroque dès les années 1970-1980. Des partitions réapparaissent au jour. Ainsi, cet opéra L’Uomo femina débusqué à Lisbonne. » Le Martimpression − le 21 novembre 2024

« Les six chanteuses et chanteurs sont excellents, aussi comme comédiens. L’orchestre du Poème harmonique, entendu l’an dernier dans Le carnaval baroque est parfait. Une belle redécouverte et recréation, qui nous change de la nième reprise des grands ouvrages ou des longues recréations pas toujours vraiment convaincantes. » Musicologie – le 16 novembre 2024

« Dix productions d’opéras à ne manquer pour rien au monde en 2024-25. [...] Aux côtés des opéras de Milan, Vienne ou encore Turin, le théâtre de Caen programme une des "dix productions d'opéras à ne pas manquer pour rien au monde en 2024-25". [...] Une rare occasion d’entendre un opéra du compositeur Baldassare Galuppi, dont la statue trône fièrement sur l’île de Burano. Il y est question de genre, de travestissement et de domination féminine, tout un programme. Dans cette production mise en scène par Agnès Jaoui et dirigée par Vincent Dumestre, on retrouve une belle distribution tricolore : Eva Zaïcik, Lucile Richardot, Victoire Bunel, Anas Seguin. » Forum Opéra 2 septembre 2024

« L'Uomo femina de Galuppi  revoit le jour pour la première fois depuis 1762 et plonge les relations humaines dans le vertige. »  Classica  – novembre 2024

« Vincent Dumestre et une distribution pour qui le baroque n'a pas de secrets (Eva Zaïcik, Lucile Richardot, Victoire Bunel...) s'emparent de cette fable sur les rôles genrés créée à Venise en 1762, dont Agnès Jaoui s'emploiera sans nul doute à souligner les résonances  contemporaines. » Diapason novembre 2024

« Les spectacles de la rentrée à réserver. [...] L’Uomo femina  : un rapport baroque à l’autorité et aux genres. »  Le Monde14 septembre 2024

« Dans L’Uomo femina, l’opéra féministe du XVIIIe siècle, AgnèsJaoui casse finement les codes. La comédienne et réalisatrice, mais également chanteuse, s’est associéeà Vincent Dumestre, chef normand du Poème Harmonique, pour monter un opéra oublié du XVIIIe siècle, création produite par les opéras de Dijon, Caen et Versailles. » Ouest-France 

DANSE 
Requiem(s)
« Le final se fait sur un retour au rock trash endiablé, après le silence de la mort, un retour à la vie débridée pour mieux dépasser le vide et le néant silencieux, sans l’oublier, mais en libérant la vie puissante sur fond de pantins auréolés et désarticulés. Ce qui fait de ce ballet un spectacle réenchanté et plein de vie, malgré le thème évoqué, abordé et dansé. » Musicologie – le 22 décembre 2024

Cher cinéma
« Danse : les spectacles les plus attendus de la rentrée 2024 » Télérama  6 septembre 2024

« Après My Rock et Ladies Rock rendant hommage aux stars qui l’ont porté depuis l’adolescence, le chorégraphe Jean-Claude Gallotta (quatre-vingts pièces en quarante-cinq ans de carrière) continue de remercier les mondes qui l’ont inspiré. Celui du cinéma semble tenir une place singulière dans son cœur : aimant les mots presque autant que les mouvements, il prend ici la peine d’écrire des lettres à Fellini, Carax, Godard, Melville, Guédiguian, Chéreau ou Moretti… » Télérama  6 septembre 2024

« Rentrée culturelle 2024 : théâtre et ballet, notre sélection de spectacles à voir cet automne . » La Croix  29 août 2024

« Cher Cinéma magnifie les rencontres, parfois fugaces, parfois mêmes rêvées, avec les réalisateurs qui ont compté pour lui : Federico Fellini et Raul Ruiz, Jean-Luc Godard et Tonie Marshall… De cet amour pour les images animant l'écran est née, pour celui qui confie aimer " tremper " sa danse dans d'autres univers artistiques, une " évocation chorégraphique sur le fil de l'intimité ". » La Croix  29 août 2024

JAZZ
Electro Deluxe
« Des cuivres donc pour sonner funky, une voix soul et mélodique, un quartet de base bien rôdé revenu de l’électro vers un son plus jazz fusion. La musique est impeccable, les chansons enlevées avec quelques impros instrumentales, plus rares pour la trompette et le trombone, dommage. Ils passent à la moulinette leur dernier album Next, aussi leur seul morceau instrumental, plus quelques tubes à leur façon. Et l’ensemble tourne rond et fort, comme une machine à groover et ambiancer. Le public est là pour bouger et les musiciens sont là pour lui. Une façon d’oublier la période morose qui nous emprisonne de partout. » Musicologie – le 8 novembre 2024
 

SAISON 2023/2024

DANSE
 On achève bien les chevaux
« L’activité des interprètes sur scène tient de la performance et donne lieu à de forts beaux moments d’ensemble. On retient aussi dans cette évocation réaliste, ce solo de ballerine. Il intervient comme un rêve dans une fresque par trop linéaire. On n’est pas moins saisi par la succession des séquences. Elles mettent en évidence une soumission autant à l’inhumanité d’un règlement, qu’à l’indécence d’un marketing, un mariage en public, pour quelques dollars de plus. » Le Martimpression – l e 28 février 2024
 
THÉÂTRE
Dom Juan ou le Festin de Pierre
« Pour cette pièce singulière, le metteur en scène David Bobée, directeur du Théâtre du Nord, opte pour un personnage moins séducteur que prédateur. Il ne le ménage en rien dans un spectacle où les saillies comiques d’un Sganarelle sont submergées par l’énergie féroce et pathétique de son maître. Elle bascule vers la dramaturgie shakespearienne, soutenue par une musique percutante jusqu’au KO fatal. Une distribution cosmopolite caractérise aussi ce travail, qui tient le spectateur en haleine. » Le Martimpression – 19 mars 2024