Le spectacle
Rendez-vous jeudi 28 mai à 20h en cliquant sur le lien suivant :
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(Cette vidéo sera disponible 24 heures durant à partir de sa diffusion.)
Production du théâtre de Caen créée en 2012, Vénus et Adonis réunit d’importants acteurs de la vie musicale en région : La Maîtrise de Caen et les Musiciens du Paradis. Sur le plateau, à la mise en scène, Louise Moaty (Il Sant’Alessio, Cadmus et Hermione, Rinaldo…). Dans la fosse, pour sa première direction d’orchestre : le soliste d’origine normande Bertrand Cuiller. Ce spectacle a ensuite fait une tournée exceptionnelle en Europe avec un total de 23 représentations : Opéra de Lille, Opéra-Comique de Paris en ouverture de la saison 2012/2013, MC2 Grenoble et dans l’ouest de la France, à Angers-Nantes Opéra.
Avec Vénus et Adonis, John Blow compose le premier opéra anglais. Cet ouvrage servira de modèle à son élève et ami, Henry Purcell, dans l’écriture de son chef-d’œuvre, Didon et Enée. Petit bijou de raffinement, cette œuvre rare est une excellente occasion de découvrir l’opéra baroque. Récitatifs, airs, pièces chorégraphiées et chœurs nous conduisent, non sans quelques détours facétieux, vers la fin tragique d’Adonis et le chagrin de Vénus.
Amours naïves et dénouement cruel, dans le bosquet des amants, à la lueur des bougies, retrouvez-la, sublime, ainsi que son intrépide Adonis, le joyeux Cupidon, les chasseurs et leurs chiens, les Grâces et leurs danses…
Les Musiciens du Paradis choeur et orchestre – Alain Buet direction artistique
La Maîtrise de Caen choeur – Olivier Opdebeeck direction artistique
Bertrand Cuiller direction musicale
Louise Moaty mise en scène
Agrial, Oxford, marque du groupe Hamelin et KPMG ont soutenu la production de Vénus et Adonis à Caen.
La Région Basse-Normandie a soutenu cet événement aux côtés de la Ville de Caen.
Coproduction: théâtre de Caen, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Angers-Nantes Opéra, Opéra Comique, Opéra de Lille et Centre de Musique Baroque de Versailles.
Production déléguée : théâtre de Caen. Les Musiciens du Paradis, basés à Alençon, sont soutenus et subventionnés par le ministère de la Culture et de la Communication, le Conseil régional de Basse-Normandie et le Conseil général de l’Orne. La Maîtrise de Caen est une initiative de la Ville de Caen. Elle est le fruit d’un partenariat entre l’Éducation nationale pour l’enseignement général, le Conservatoire à rayonnement régional de Caen pour la formation musicale et le théâtre de Caen pour la production et la diffusion. Pour son cycle de concerts et d’auditions, elle est également soutenue par le Conseil régional de Basse-Normandie.
© CLC Productions, théâtre de Caen, 2012.
Distribution
Les Musiciens du Paradis choeur et orchestre – Alain Buet direction
La Maîtrise de Caen choeur – Olivier Opdebeeck direction
Bertrand Cuiller direction musicale
Louise Moaty mise en scène, assistée de Florence Beillacou
Françoise Denieau chorégraphie / Adeline Caron scénographie / Alain Blanchot costumes / Christophe Naillet lumières / Mathilde Benmoussa maquillages / Priscilia Valdazo assistante musicale / Eugène Green conseiller linguistique
Céline Scheen Vénus / Marc Mauillon Adonis
Grégoire Augustin, Romain Delalande (en alternance), Cupidon
La presse en parle
« Le chœur et l'orchestre des Musiciens du Paradis nous ont paru mériter leur nom. » Le Monde
« C'est sans doute la large participation de La Maîtrise de Caen qui donne sa tonalité particulière au spectacle […] et l'on ne peut que souligner l'excellence des Musiciens du Paradis. » Concertclassic.com
« Bravo au jeune maîtrisien dont la voix, jointe à une gestuelle maîtrisée avec un brin de maladresse, a donné un charme fou à Cupidon. Les Musiciens du Paradis excellent, tant du point de vue de la technique que de l'interprétation, peignant cette musique avec intensité, élégance et faisant ressentir avec grâce tous les affects suggérés. » La Lettre du Musicien
« L'union fait la force dit-on, cette production […] en est la preuve. C'est aussi un bel exemple d'utilisation des forces vives de la Région Basse-Normandie. En ces temps difficiles, le spectacle sera représenté 23 fois : un record et un exemple. » Opéra Magazine
« Un travail de titans surmonté d'orfèvrerie. » Ouest-France