Le spectacle
Gloria est le second volet d’un diptyque féminin solaire, commencé avec l’immense succès de Carmen(s) – accueilli au théâtre de Caen en 2018. Gloria, c’est une fée loufoque et indomptée pour qui vivre ne va pas sans danser, l’incarnation charnelle et lumineuse de la joie de vivre.
Cri jubilatoire, ode à la danse, Gloria irradie les messages chers à José Montalvo : humanité, partage et joie. Face au chaos du monde, la danse peut se faire fronde joyeuse, refuge bienveillant. Elle est métissage et rencontre. Des messages portés haut par ses fidèles danseurs qui mixent flamenco et hip-hop, classique et moderne, en un ballet unique et singulier. L’occasion aussi pour José Montalvo de rendre hommage à tous les artistes et chorégraphes qui l’ont encouragé et inspiré.
Gloria est un Eden terrestre sémillant dont José Montalvo nous donne les clés précieuses le temps d’un spectacle qui porte plus que jamais sa signature !
Distribution
José Montalvo chorégraphie, scénographie, conception vidéo
Joëlle Iffrig assistante à la chorégraphie
Didier Brun scénographie, lumières
Sylvain Decay, Franck Lacourt collaborateurs artistiques à la vidéo
avec
Karim Ahansal dit Pépito, Michael Arnaud, Rachid Aziki dit ZK Flash, Nadège Blagone dit Sellou, Éléonore Dugué, Serge Dupont Tsakap, Fran Espinosa, Samuel Florimond dit Magnum, Élizabeth Gahl Le Notre, Rocío Garcia, Florent Gosserez dit Acrow, Rosa Herrador, Dafra Keita, Chika Nakayama, Beatriz Santiago, Denis Sithadé Ros dit Sitha
La presse en parle
« L’exaltation des interprètes, qu’ils soient hip-hop, flamenco, classique ou contemporain, nourrit un geyser gestuel continu. Sur du jazz manouche électrisant, c’est la course sur le plateau. La juxtaposition des styles, toujours présente chez Montalvo, est chamboulée par des échanges de savoir-faire. Les experts hip-hop se risquent dans les danses traditionnelles africaines tandis que les as du flamenco se juchent sur des chaussons de pointes. Et comme si ça ne suffisait pas, tout ce petit monde joue de la musique, chante et parle dans ce qui ressemble à une comédie chorégraphique inédite. » Le Monde
« L’alchimie du spectacle tient au métissage des styles. Trois danseuses au parcours classique échangent avec un quatuor de flamenquistes. [...] Les break-danseurs dialoguent avec le punch africain de deux puissantes danseuses. Rien n’est artificiel : dans la gravité comme dans l’énergie joyeuse, le parcours est construit dans un amour commun du mouvement. » Télérama
« Cette grosse heure d'allégresse, d'énergie, de positivité est reçue dans la salle comme une véritable transfusion euphorisante, un shoot visuel et auditif. Une parenthèse heureuse, utopique, où l'on accepte de croire que tout est possible pour celui ou celle qui ose aller jusqu'au bout de ses rêves. » Un Fauteuil pour l'orchestre
Production : Maison des Arts et de la culture de Créteil. Coproduction : Chaillot - Théâtre national de la Danse ; Le Channel, scène nationale de Calais (volet participatif) ; Festspielhaus Saint Pölten. Action financée par la Région Île-de-France. Avec le soutien de La Briqueterie-CDCN du Val-de-Marne.