Aller au contenu principal

Le spectacle

masque de James Shirley (1596-1666)

musiques de Christopher Gibbons (1615-1676) et Matthew Locke (1621?-1677)

BAROQUE ! LA COMÉDIE MUSICALE MADE IN LONDON !

Ciel ! Les flèches de Cupidon et celles de la Mort ont été échangées. Ici-bas, rien ne va plus ! De jeunes amants se meurent tandis que les ennemis jurés s’étreignent et que les vieillards tombent amoureux. Un désordre loufoque que la Nature contemple, totalement horrifiée !

Ce masque – genre hybride typiquement anglais mêlant musiques, danses, textes parlés et chantés – est l’un des plus intrigants de l’Angleterre du XVIIe siècle. Et surtout le seul dont les textes de James Shirley et la partition de Matthew Locke et Christopher Gibbons nous sont parvenus dans leur intégralité. Un joyau baroque rare et inclassable, comme les affectionne Sébastien Daucé, chef en résidence au théâtre de Caen avec son ensemble Correspondances. Il en explore ici toute la modernité. 

Inspirée d’une fable d’Ésope, son intrigue insolite, raffinée et burlesque à la fois, se prête parfaitement à la relecture moderne du tandem Jos Houben/Emily Wilson, rodés au théâtre de création, visuel et corporel. Mime renommé à l'international, Jos Houben s'est déjà produit à trois reprises sur la scène du théâtre de Caen : pour Répertoire, Citizen Jobs et L’Art du rire. Créée sur son plateau, cette nouvelle production du théâtre de Caen est l’un des grands temps forts de sa saison 21/22.


Distribution

Ensemble Correspondances
Sébastien Daucé direction musicale
Jos Houben et Emily Wilson mise en scène  
Oria Pupposcénographie, costumes et masques 
assistée de Clémentine Tonnelier
Julia Brochier, Sabine Schlemmer réalisation des costumes et masques
Katherina Lindekens dramaturgie
Christophe Schaeffer lumières
Ateliers de l'Opéra de Rennes construction des décors
Gabrielle Bérubé Forest régie générale et lumières :
Mathieu Prud’homme régie plateau
Manon Allégatière régie accessoires et costumes
Élodie Brémaud surtitrage

avec 
Perrine Devillers, Lieselot De Wilde, Yannis François, Nicholas Merryweather, Lucile Richardot, Antonin Rondepierre solistes

Ensemble Correspondances
Josèphe Cottet, Béatrice Linon violons
Mathilde Vialle basse de viole
Étienne Floutier violone en sol
Lucile Perret flûte
Thibaut Roussel théorbe
Angélique Mauillon harpe
Jean-Miguel Aristizabal en alternance avec François Guerrier virginal
Sébastien Daucé orgue, virginal et direction
Fiamma Bennett, Soufiane Guerraoui comédiens


La presse en parle

« Désormais rompus aux résurrections flamboyantes et aux expériences scéniques (Le Ballet royal de la nuit, Histoires sacrées, Songs), Sébastien Daucé et son ensemble Correspondances s’emparent de cette œuvre composite, créée en 1653, et s’associent pour le meilleur aux metteurs en scène Jos Houben et Emily Wilson. » Télérama

« À chaque fois, la même appétence du claveciniste Sébastien Daucé, à la tête de son ensemble Correspondances, aventurier d'un théâtre musical d'ascendance baroque. » Le Monde

« Un objet de désir lumineux et gourmand. [...] Diabolique de précision, la direction de Sébastien Daucé demeure souple et discrète. Plus encore, son intelligence musicale et l'excellence de ses complices font de ce mask une œuvre truculente et singulière. » Diapason

« Entre humour et poésie, cet opéra masque anglais du XVIIsigné James Shirley, Matthew Locke et Christopher Gibbons, est l'un des spectacles les plus réjouissants du moment. [...] Chantre patenté des résurrections aventureuses, Sébastien Daucé a été le héraut de cette redécouverte scénique au théâtre de Caen. » Le Figaro

« Menés par Sébastien Daucé, les instrumentistes de Correspondances prennent un plaisir manifeste qui n’entame nullement leur brio. » La Croix

« L’équilibre sonore entre les pupitres est harmonieux, les mélodies se répondent et se combinent pour une diversité de couleurs. Les phrasés sont souples, les nuances raffinées. La performance des instrumentistes (bouger à plusieurs reprises, jouer en marchant, prendre parfois des positions incongrues : assis par terre ou serrés dans une boîte !) force l’admiration. C’est une salle conquise touchée en plein cœur par les flèches de cette nouvelle production, qui l'applaudit longuement et chaleureusement. » Olyrix

« Nul doute que le duo de metteurs en scène Jos Houben et Emily Wilson, maîtres du burlesque, saura exploiter ce masque qui dépeint un monde en proie au chaos, entre récit tragique et danses grotesques, dialogues comiques et apothéose solennelle. » Diapason

« Sébastien Daucé, à la tête de son Ensemble Correspondances, et le tandem de metteurs en scène Jos Houben/Emily Wilson ont la bonne idée de ressusciter ce masque anglais. [...] Oria Puppo recrée pour l’occasion une chorégraphie pour ce divertissement inspiré d’une fable d'Ésope qu'on nous promet somptueux. » Classica

« Un ovni théâtral. Du 10 au 13 novembre, le théâtre de Caen ressuscite Cupid and Death, une œuvre musicale baroque, quintessence de l'humour anglais, sans limite et sans frontière. » France info : Culture

« De péripéties en péripéties, le petit groupe de musiciens autour de Sébastien Daucé tisse les liens entre théâtre et danse et sert d’écrin aux passages chantés. Le quintette de voix, formé par les sopranos Perrine de Devillers et Liselot De Wilde, le ténor Antonin Rondepierre, la mezzo Lucile Richardot et le baryton-basse Yannis François, offre un nuancier subtil. » Le Martimpression

> Cliquez ici pour voir le reportage réalisé par les équipes de France 3 Normandie


Production : Centre International de Créations Théâtrales / Athénée Théâtre Louis-Jouvet et théâtre de Caen.

Coproduction : Opéra de Rouen Normandie ; Théâtre impérial – Opéra de Compiègne ; Opéra Royal – Château de Versailles Spectacles ; Atelier Lyrique de Tourcoing ; Ensemble Correspondances ; Opéra de Rennes ; Château d’Hardelot – Centre Culturel de l’Entente Cordiale.

Avec le soutien du Centre national de la musique.

Avec le soutien en résidence de création de la vie brève – Théâtre de l’Aquarium. 

L’Ensemble Correspondances remercie Vincent Meyer pour son soutien.

L’Ensemble Correspondances est en résidence au théâtre de Caen, il reçoit le soutien financier du ministère de la Culture, DRAC Normandie, de la Région Normandie, de la Ville de Caen et du théâtre de Caen.

 

Dans le cadre du plan de relance de la programmation du spectacle vivant, la DRAC Normandie accompagne les lieux de création artistique et contribue à renforcer leur programmation et à proposer des manifestations supplémentaires.