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Le spectacle

Pour ce week-end entièrement dédié à Brahms, nous retrouvons le violoniste David Grimal et ses compagnons des Dissonances. Rassemblant solistes, chambristes reconnus et jeunes talents, ce collectif unique et atypique, jouant sans chef, revendique son absolue liberté au service de l’excellence et du partage. Explorant l’œuvre de Johannes Brahms, ils abordent le grand répertoire symphonique. 

Avec son Concerto pour violon et violoncelle créé en 1887, Brahms signe sa dernière pièce symphonique. Cette formation originale, véritable rareté à l’époque de sa composition, offre un dialogue continu et fluide entre les deux instrumentistes et l’orchestre. Ce Double concerto est aussi une œuvre de réconciliation avec son ami le violoniste Joseph Joachim.

Place ensuite à la Symphonie n° 1. Paralysé par l’héritage  de Beethoven et les attentes de ses contemporains, Brahms n’ose franchir le pas de l’écriture d’une symphonie que très tardivement. Achevée définitivement en 1876, au terme d’une longue gestation d’une vingtaine d’années, l’œuvre reste fidèle au classicisme viennois, même si le musicien réussit magistralement à tracer son propre sillon.

 


Distribution

Les Dissonances

David Grimal
violon et direction

Anne Gastinel violoncelle

(60 instrumentistes)


Programme

Johannes Brahms (1833-1897)

Concerto pour violon et violoncelle en la mineur, Opus 102, dit Double concerto

Symphonie n° 1 en ut mineur, Opus 68


La presse en parle

« Reconnu pour ses concerts à la fois fougueux et intimes, dans les grandes salles symphoniques et les petits événements caritatifs, le violoniste et fondateur des Dissonances, ensemble hors norme et sans chef d’orchestre, a multiplié les collaborations marquantes au gré de ses trente ans de carrière. » Libération



« Ils ont des projets toujours plus audacieux et le public les suit. Les Dissonances, un hymne à la joie. » Télérama



« Les Dissonances sont une bulle d’oxygène, un espace de liberté. » Le Monde